Chez moi, à l'Intérieur...

Omnia Apud Me Mathematica Fiunt. (René Descartes - 12x133-30x55)

Il se fait appeller Vicnent et Il se situe vers Paris XI, City of Lights, France

Ce qu'il en pense ? "Cubum autem in duos cubos, aut quadratoquadratum in duos quadratoquadratos et generaliter nullam in infinitum ultra quadratum potestatem in duos ejusdem nominis fas est dividere: cujus rei demonstrationem mirabilem sane detexi. Hanc marginis exiguitas non caperet". Pierre de Fermat, 1637, dans la marge de son exemplaire (aujourd'hui disparu) des Œuvres de Diophante éditées par C.G. Bachet de Méziriac.

Le reste aussi...

1.10.04

Et celle là est pour Claire...

Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Si tu vois,
Flotter une larme bohème
Dans les yeux, mon cœur s'y promène
C'est qu'alors je pense à toi
C'est comme ça,
Le bonheur n'est pas géomètre
J'ai pas de plans à te soumettre,
Je sais pas le faire marcher droit
M'en veux pas
Si je ne peux rien te promettre
C'est que je voudrais tout peut-être
Et ça ne me suffirait pasPas à pas
Je parle à tâtons et j'effleure
Tous ces mots qui reprennent couleur
Quand je les pose sur toi
Et je vois
Les rêves qui hésitent encore
Prendre la forme de ton corps
Et je souris malgré moi
Jusque-là
J'croyais à peu près me connaître
J'ai tout jeté par ta fenêtre
Pour mieux m'apprendre dans tes bras
M'en veux pas
Si je ne sais rien te promettre
À part dans ces phrases muettes
Que je vagabonde sur toi
Laisse-moi le temps de t'aimer sans penser au-delà
Tu me souris et tu te tais, mais tu ne comprends pas...
Laisse-moi, le temps de trouver l'empreinte pour mes pas
À force de t'avoir cherchée, j'ai un peu peur de moi
Peur de moi...
Est-ce que ce n'est pas autre chose
Tu m'apprivoises et je dépose
Mes ombres fanées derrière moi
Peur de quoi
Peur de l'avenir qui se glisse
Entre ma peau et mes caprices
Quand je me perds au bord de toi
Peur de quoi
Tout simplement de reconnaître
Que tout est là, dans ces peut-être
Qui me chavirent autour de toi
Peur de moi...
Il n'y a rien d'autre à comprendre
Toi tu voulais des mots plus tendres,
Et moi...
Je te parle de moi
Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Et que dans tous ces mots-là...

Paroles Marie France Gros
Musique de Patrick Bruel

1 Comments:

Blogger rachou a dit...

Ben t'es amoureux toi!!!!!!!!
c beau de voir des gens amoureux, et qui en plus cite Bruel :)
j'esperes que claire lira toutes ses lignes un jour!

4:11 PM  

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